Et si tu n’existais pas
J'attendrai son envie pour lui indiquer le lieu
J’attendrai son doux baiser lent, étroit et savoureux
Délivré par des lèvres sans fard et pareilles aux tiennes
Elle sera me plaire et m’apaiser comme une sirène
Et si tu existais
Je n’attendrai pas la nuit pour t’éclairer
Je n’attendrai pas que ton désir soit sanctifié
Attardé par ce baiser atteignant l’âme
Tu seras me faire accoucher de mes sens comme une sage femme
Et si tu n’existais pas
J’attendrai son derrière culminant pour lui indiquer l'entrée
J’attendrai son petit triangle découvert, humide et doré
Papillonné dans un sourire éperdu
Elle sera me révéler et me combler comme une antonyme ingénue
Et si tu existais
Je n’attendrai pas l’exposition pour te contempler
Je n’attendrai pas que ta sueur soit glacée
Sublimé par ta ferveur sous mes caresses
Tu seras me faire rougir le coquelicot comme une déesse
Et si tu n’existais pas
J’attendrai son petit cri pour lui indiquer la sortie
J’attendrai son soupire tremblant, saccadé et épanoui
Déclaré par un va et vient sans repos
Elle sera m’épuiser et m’achever comme une vénus de Milo
Et si tu existais
Je n’attendrai pas pour recoller les morceaux
Je n’attendrai pas le jour pour tirer les rideaux
Absorbé par ton envergure câline
Tu seras me déchiqueter et dévorer comme une féline
J'attendrai son envie pour lui indiquer le lieu
J’attendrai son doux baiser lent, étroit et savoureux
Délivré par des lèvres sans fard et pareilles aux tiennes
Elle sera me plaire et m’apaiser comme une sirène
Et si tu existais
Je n’attendrai pas la nuit pour t’éclairer
Je n’attendrai pas que ton désir soit sanctifié
Attardé par ce baiser atteignant l’âme
Tu seras me faire accoucher de mes sens comme une sage femme
Et si tu n’existais pas
J’attendrai son derrière culminant pour lui indiquer l'entrée
J’attendrai son petit triangle découvert, humide et doré
Papillonné dans un sourire éperdu
Elle sera me révéler et me combler comme une antonyme ingénue
Et si tu existais
Je n’attendrai pas l’exposition pour te contempler
Je n’attendrai pas que ta sueur soit glacée
Sublimé par ta ferveur sous mes caresses
Tu seras me faire rougir le coquelicot comme une déesse
Et si tu n’existais pas
J’attendrai son petit cri pour lui indiquer la sortie
J’attendrai son soupire tremblant, saccadé et épanoui
Déclaré par un va et vient sans repos
Elle sera m’épuiser et m’achever comme une vénus de Milo
Et si tu existais
Je n’attendrai pas pour recoller les morceaux
Je n’attendrai pas le jour pour tirer les rideaux
Absorbé par ton envergure câline
Tu seras me déchiqueter et dévorer comme une féline
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